Le canton de Puerto Jimenez, 12000 habitants sur 272 km carré. Son quartier principal où se situent les administrations et commerces compte envron 2000 habitants. Un aeroport relie le canton à la capitale. Situé sur la peninsule d’Osa dans le Golfo Dulce, un des trois golfes tropicaux dans le monde. Il habrite le parc Corcovado un des plus sauvage et le mieux protégé de la présence humaine.

Le village se trouve à 7km de piste inondable. On y trouve tout ce qui est necessaire, banque avec distributeur, dollars ou colones, medecin, clinique, grande surface d’alimentation, restaurant.....

La monaie officielle est le colones, mais le dollar américain est très présent et préféré pour les paiements sur les lieux touristiques. 1000 colones égal 1,50 euros puis rapidement 1,70 euros suite à la chute de l’euro face au dollar. Les banques et commerces ne prennent aucun frais avec la carte de crédit world elite.

Le coût de la vie est assez élevé, essence, nourriture, voiture... Un Costaricien à un revenu mimal de 450 dollars. Dans les régions reculées et les quartiers populaires, la pauvreté est très présente. Le tourisme et l’investissent américain n’ont pas arrangés leurs conditions de vie. L’argent ne profitant qu’à certains, le gouvernement étant assez corrompu d’après les Costariciens.

Notre premier caddy de nourriture pour une semaine nous à assez surpris avec une note de 150 dollars, payé en carte de crédit. Il n’y avait pas grand chose dedans.

Nous sommes dans la saison des pluies, qui peuvent être très importantes, typhons et cyclones venant du pacifique ne sont pas rares à cette époque. En général soleil très chaud le matin et pluies l’après midi. La température est assez constante, le jour entre 25 et 30, la nuit entre 23 et 25. L’eau du golfe à 29 degré en moyenne. Le soleil se lève à 5h30 et nuit noire à 17h30. La péninsule étant entourée de parc nationaux, il y a très peu de lumières humaines et aucun éclairage public sur les routes. Seuls les sons des singes, oiseaux divers, crapauds et vagues de l’océan se font entendrent.